Recherche fondamentale
Les champs de recherche
Mes objets de réflexion embrassent de nombreux champs de la recherche scientifique, que ce soit dans les voies ouvertes depuis plus d’un siècle comme la biologie, la physique quantique, le magnétisme, la psychologie, ou d’autres, plus récentes, comme l’épigénétique, les champs de conscience/champs morphiques, le modèle non-local de la conscience, l’eau morphogénique, l’archéopsychologie des contes merveilleux… Les articles mis en ligne proposent des hypothèses et réflexions qui sont le reflet de ma recherche fondamentale et de ma pratique.
La diversité des sources suivantes participe de mon émulation :
– La biologie du vivant et la biologie évolutive humaine, les neurosciences : biomorphisme, neurobiologie, neurologie et neuroimagerie, neurosciences cognitives et neuropsychologie, ainsi que la psychologie du développement.
A la fois mine d’or et boîte de Pandore de la modernité, les données régulièrement mises à jour dans ces domaines permettent d’établir des corrélations fortes qui soutiennent ou invalident certaines de mes hypothèses.
– Les recherches innovantes consacrées à la psychologie de la motivation, à la compréhension de l’inconscient et aux manifestations symboliques et psychosomatiques.
Sous-estimés, les liens cachés entre les événements de la vie à fort potentiel émotionnel et le déclenchement de la maladie donnent souvent des clés qui permettent, lors de la prise de conscience, la rémission des symptômes et l’auto-guérison. La notion de « champs de conscience » et de « portage » de l’information par l’électromagnétisme de la conscience permet de remédier aux cristallisations dans la matière-corps.
– Les hypothèses épigénétiques et l’influence des champs (morphiques et morphogéniques) dans les processus d’activation et d’inhibition des gènes par l’ARN messager.
Je suggère qu’un engramme psychoémotionnel – converti en champ informationnel – modifie l’organisation homéostatique de certaines familles de cellules liées à tel ou tel organe ou système, provocant la maladie. Mon attention se porte sur la réversibilité des engrammes délétères grâce à l’émission de « contre-champs informationnels ». Il apparaît que la question de la malaimance est au coeur des engrammes délétères et que l’aimance soit une clé d’activation des contre-champs réparateurs.
– Les recherches en biophysique quantique de la conscience qui modélisent une conscience à plusieurs « étages », échangeant des informations hors de l’espace-temps et guidant le « plan de vie » vers la satisfaction essentielle.
Ce domaine de recherche est dans les faits utilisé plus ou moins consciemment dans tous les soins par magnétisme et par hypnose. Sa théorisation dans le domaine de la santé en est encore à ses balbutiements. Néanmoins, grâce aux nombreux résultats observés, il semble qu’un cadre théorique émerge peu à peu. Il est transmis sous forme d’hypothèses lors des Ateliers de savoirs libres où sont pratiqués les protocoles d’« auto-soins en conscience ».
– La recherche sur les contes merveilleux traditionnels contenant des informations d’une phylogenèse de la psyché humaine.
Les contes représentent des objets d’archéopsychologie qui révèlent une évolution de la psyché sur plus ou moins 50 000 ans. Ce champ de recherche se rattache à celui des soins en ce que certains contes témoignent de l’origine de problèmes systémiques qui impactent nos sociétés dans le domaine des émotions, donc de la santé, et qui montrent les solutions évolutionnaires réalisées par la psyché pour y remédier ; leur origine peut remonter de 6 000 à 20 000 ans.
– Les derniers ouvrages et articles consacrés à la vie et aux pratiques de guérison des peuples natifs/premiers/racines ainsi qu’à la préhistoire humaine (paléoanthropologie, ethno-archéologie, anthropologie génétique, paléoneurologie, archéologie du genre, archéoclimatologie, …).
Toutes données qui permettent d’appréhender diverses représentations et rapport au monde, et d’étudier l’évolution des modes de vie, de pensée et les savoirs-faire de nos ancêtres lointains (de 500 à 5000 générations). Elles permettent autant de corroborer des hypothèses que d’en formuler d’autres en ce qui concerne les origines préhistoriques de certaines maladies typiquement occidentales, leur évolution et les réponses apportées au fil du temps par les processus évolutionnaires.
– Les échanges entre pairs, praticiens magnétiseurs. Chaque magnétiseur détient un ou plusieurs dons de prédilection. Les échanges d’expérience nourrissent la pratique et stimule la recherche fondamentale.
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